Depuis le 1er janvier 2024, ce sont désormais les caisses d’Assurance Maladie qui gèrent l’envoi des invitations aux 3 dépistages organisés des cancers.
Nous vous invitons donc à vous rapprocher de leurs services.

prévention

Au moins 40 % des cancers sont liés à des comportements que nous pouvons modifier.

Vous avez le pouvoir d’agir pour vous et pour les autres

1

2

3

EN VOUS INFORMANT SUR LES FACTEURS DE RISQUE AUX CANCERS

vous faites le premier pas vers une meilleure santé

1

2

3

EN ADOPTANT DES COMPORTEMENTS SAINS

vous augmentez vos chances de profiter de la vie en bonne santé

Arrêter sa consommation de tabac

1 adulte sur 4

fume plus de 10 cigarettes/jour

Vous n’êtes pas impuissant face au tabac

Maîtriser sa consommation d’alcool

23,6 % des Français de 18 à 75 ans

dépassent les nouveaux repères d’alcool*

*sur au moins une des dimensions (pas plus de 10 verres par semaine, pas plus de 2 verres par jour, au moins 2 jours sans alcool par semaine).

Diminuer sa consommation d’alcool c’est possible

Manger varié et équilibré.

28% des adultes
(18-54 ans) seulement

consomment 5 fruits et légumes par jour.

Équilibrer son assiette peut être un jeu d’enfant

Bouger plus !

1 français sur 2

est en surpoids ou obèse

Les bonnes habitudes d’activité physique s’adoptent vite

1

2

3

EN PARTAGEANT CES INFORMATIONS AUTOUR DE VOUS

vous permettez à vos amis, votre famille, vos parents, vos collègues, de prendre mieux soin de leur santé.

Une personne est plus favorable à faire un dépistage si l’acte est valorisé par son entourage. Alors à tout âge, parlez prévention et dépistage autour de vous. Plus les consciences seront éveillées tôt, plus les participations aux campagnes de dépistage seront élevées.

Éviter les facteurs de risque connus apparaît comme
un moyen d’action essentiel pour prévenir certains cancers.

Et vous ? Que disent vos comportements ?

LA VACCINATION CONTRE LES CANCERS HPV

Très fréquents, les papillomavirus humains (virus HPV) se transmettent lors de rapports sexuels, avec ou sans pénétration. Le préservatif ne permet pas de s’en protéger complètement.

Ils sont responsables de huit localisations de cancers : le col de l’utérus, l’anus, l’oropharynx, la vulve, le vagin, la cavité orale, le larynx et le pénis.

Dans 9 cas sur 10, le corps élimine de lui-même ces virus. Mais lorsqu’une infection par les HPV persiste, elle peut être à l’origine de cancers. Chaque année en France, 6 300 nouveaux cas de cancers sont provoqués par une infection aux HPV. En majorité, ce sont des femmes mais plus d’un quart concerne les hommes.

À retenir :

Plus de 80% des femmes et des hommes seront exposés aux HPV au cours de leur vie.

LA VACCINATION PAS À pAS

Pourquoi une vaccination ?

Elle prévient aujourd’hui, jusqu’à 90% des infections HPV à l’origine des cancers. Elle est sûre, efficace et mondialement reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). De nombreux pays vaccinant depuis de nombreuses années sont des exemples probants avec une quasi-disparition de certains cancers liés aux HPV.

 

Cette vaccination est un moyen complémentaire au dépistage du cancer du col de l’utérus qui à terme, pourrait éradiquer ce cancer.

Qui est concerné par la vaccination ?

Pour protéger des cancers du col de l’utérus et de l’anus, la vaccination est recommandée pour les filles et les garçons à partir de 11 ans, et jusqu’à 26 ans pour les hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes.

 

Pour être plus efficace, elle est préconisée avant le début de la vie sexuelle.

Comment ?

Parlez-en au médecin généraliste ou au pédiatre qui suit votre enfant. Selon son âge, il ajustera la prescription.

Entre 11 et 14 ans : 2 doses sont nécessaires

Entre 15 et 19 ans : 3 doses sont nécessaires – rattrapage.

Vous pouvez également vous adresser à votre pharmacien, un(e) infirmier(e), un(e) sage-femme ou encore un centre de vaccination municipal ou départemental.

BON à SAVOIR

Une des doses peut être réalisée en même temps que le rappel dTcaP (Vaccin contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche acellulaire et la poliomyélite) prévu entre 11 et 13 ans.

Quel est le coût ?
Les doses de vaccin sont remboursées à 65% par la caisse d’assurance maladie et le reste à charge, est généralement remboursé par le régime complémentaire.